Articles les plus récents

Les fondateurs de la guitare flamenca soliste. Niño Ricardo

mardi 17 juin 2008 par Claude Worms
BIOGRAPHIE Manuel Serrapí Sánchez "Niño Ricardo" (Séville, 1/06/1904 - Séville, 13/04/1972) est resté jusque dans les années 1970 la référence majeure des guitaristes flamencos, à commencer par Victor Monge "Serranito", Manolo Sánlucar, et Paco de Lucía (mais aussi Eduardo de la Malena, Felix de Utrera, Ramón de Algeciras, José María Pardo...). A ce titre, il peut être considéré comme le grand initiateur de la guitare flamenca contemporaine. Il doit cette situation privilégiée à son génie de compositeur, certes, mais aussi à des circonstances historiques particulières : au cours des années 1930 - 1950, quelques grands artistes qui furent ses contemporains avaient émigré vers le continent américain (Sabicas, Estebán de Sánlucar, et Mario Escudero), ou vers la Grande Bretagne (Pepe Martinez) ; quant à ceux qui restèrent en Espagne, ils préférèrent pour la plupart mener une carrière (…) > suite

Entretien avec Carmen Linares

samedi 7 juin 2008 par Maguy Naïmi
17 mai 2008 : Nous avons rencontré Carmen Linares lors de son séjour à Paris... (version française & espagnole) > suite

Les fondateurs de la guitare flamenca soliste - Ramón Montoya

dimanche 25 mai 2008 par Claude Worms
Au cours du deuxième tiers du XXème siècle, entre la génération de Ramón Montoya er celle du "triumvirat" - Victor Monge "Serranito", Manolo Sanlúcar, Paco de Lucía -, quelques guitaristes de génie ont créé les bases formelles, harmoniques, techniques... de la guitare flamenca soliste : Ramón Montoya, Niño Ricardo, et Sabicas, bien sûr ; mais aussi Estebán de Sanlúcar, Luis Maravilla, Manolo de Huelva, Pepe Martinez, Mario Escudero, Manuel Cano... En ces temps de mémoire courte, nous avons pensé qu’ une série d’ articles, en hommage à ces artistes, ne serait pas superflue. Chacune de ces brèves monographies sera complétée par une transcription intégrale d’ une de leurs compositions. > suite

Entretien avec Manuel Pérez Luna

A Morón de la Frontera, le 10 mai 2008
jeudi 22 mai 2008 par Manuela Papino
"Diego dans mon souvenir" (version française & espagnole) > suite

Curro Lucena : "Ocho más 2" / Encarna Anillo : "Barcas de plata"

jeudi 22 mai 2008 par Claude Worms
"Ocho más dos" : CD Production Grupo Seys (2007) "Barcas de plata" : CD Flamenco World Music FWM 002 CD (2008) > suite

"Alcalá de Guadaíra en la historia del flamenco"

2 CDs MARITA MTCD 10A114
mercredi 21 mai 2008 par Claude Worms
Alcalá de Guadaíra, son chateau, et ses Soleares... Depuis le XVIIIème siècle, le quartier gitan se situe au pied du cháteau, à flan de colline : conglomérat hasardeux de masures construites de bric et de broc, et souvent à demi troglodytes (voir la très judicieuse photo qui orne la jaquette de l’ album) C’ est là que vécurent les grands fondateurs du cante d’ Alcalá : José Fernández Torres "El Gordo", fondateur de la dynastie, ses fils Joaquín de la Paula (1875 - 1933), spécialiste de la Soleá et des "Tangos carnavalescos" (ou Tanguillos ), Agustín Talega, grand siguiriyero, et sa nièce Dolores Tinoco Fernández "La Roezna", qui nous a transmis des variantes anciennes de Soleares, de tempo rapide et "al golpe". L’ essentiel du répertoire de cette première génération de grands cantaores était constitué de Martinetes et Tonás, de Siguiriyas (styles de Tomás el Nitri, Diego el (…) > suite

Entretien avec Esperanza Fernández

Le 9 mai 2008
samedi 17 mai 2008 par Manuela Papino
"Je suis sûre de moi-même" (version française & espagnole) > suite

Lola Fernández : "Flamenco al piano 1 : Soleá"

Oscar Herrero : "12 estudios para guitarra flamenca, nivel superior"
jeudi 15 mai 2008 par Claude Worms
Deux nouveaux ouvrages dans la série didactique des éditions "Acordes Concert" > suite

"Ande vamos" 2

Anzonini del Puerto
samedi 10 mai 2008 par Miguel Alcala
Quelle drôle d’idée de saler une danse flamenca, d’y jeter un brin de laurier et de la touiller comme une sauce ! La plupart des bailaores d’aujourd’hui trouverait cela ridicule, iconoclaste, voire désobligeant, car la danse doit être fière et ‘torera’. Les seins pointent comme des cornes, les corps se tordent, les bras dessinent des ‘véroniques’ et brandissent d’invisibles banderilles. Chaque geste semble provoquer la charge de la bête noire, dans un éclaboussement de sueur et de sang. Mais, comme le disait si bien Pedro Bacán, Les danseurs sont devenus des instruments de percussion ; les hommes, depuis que Vicente Escudero a imposé des normes chorégraphiques*, les femmes, à cause de l’ouragan femelle qui avait nom Carmen Amaya*. ‘Anzonini del Puerto’*, quant à lui, dansait dans sa cuisine et cuisinait en dansant. Selon les critères andalous, il était blond (c’est-à-dire (…) > suite

Michel Haumont a écouté pour nous :

"Marino", de Jean-Baptiste Marino (CD DOM 1161, 2008)
samedi 12 avril 2008 par Maguy Naïmi
Avant même de l’avoir écouté, on a envie de l’aimer à la simple vue de sa très belle pochette. Comme une carte de restaurant peut nous mettre en appétit et nous remplir d’espoirs, on comprend tout de suite à la lecture du livret que le nouveau CD de Jean-Baptiste Marino va nous combler. Le simple mélomane que je suis ignore malheureusement tout des règles établies qui prévalent au service des successives Bulerías, Rumba, Alegrías, Fandangos, Tangos, Mineras et Seguiriyas composant cette dégustation mais, comme on se laisse emporter par les saveurs d’un dîner dont on ne veut finalement pas découvrir toute la variété des ingrédients, je me suis laissé guider par l’émotion pure et l’inspiration débordante qui nourrissent les compositions de Jean-Baptiste. Impeccablement soutenu par Miguel Sanchez aux percussions et de nombreux autres excellents musiciens, Jean-Baptiste vient (…) > suite

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Dessins, peintures et sculptures de Miguel Alcala



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